coche de Ségur

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 28/10/2007

Aprés la cérémonie, étonnante au demeurrant pour une comtesse peut au fait des us et coutumes en dehors de son Limousin, elle avait quitté la Cathédrale en compagnie de Barahir pour prendre un coche en direction des terres d'Appérault...

Voyage emmitouflé sous des couvertures de fourrures, discutions à voix basses entre la mére et son ainé et enfin, le domaine été apparu.

Barahir sortant en premier, le froid ne suffisait pas à tempérer son ardeur, il aida sa mére à quitter la chaleur tout relative de la voiture et tandis que la Comtesse ajustait les plis de ses jupes, se mit à gueter un serviteur leur indiquant ou se rendre...

On accourt, on accueille les invités.

Aurore ne savait plus trop où donner de la tête. Voyant une de ces dames qui semblait quelque peu perdue en ces lieux -peu nombreux devaient être ceux qui avaient déjà vu autant de splendeur ailleurs qu'à Paris se rengorgeait-elle- la servante s'approcha et dit après une révérence.

Si madame veut bien me permettre de lui indiquer que les invités sont conviés à se rendre dans la grande salle du château.

J'm'en vas vous montrer le chemin

Puis elle partit vers le château, espérant que la dame la suivrait

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 28/10/2007

Soyez remerciée, je vous suis volontiers.

Ressérant les pans de sa cape sur ses épaules, elle emboite le pas à celle qui doit être l'intendante des lieux, avide d'un peu de chaleur et, avouons le, d'un verre de vin

Arrivé à cheval, Cristòl était, plus que gelé, congelé. Ah, le Languedoc... Il entra dans la cour spacieuse du château meldois, et avisa une servante qui guidait une dame élégante et une jeune homme - enfin, Cristòl aussi l'était, mais bien moins. Ni une ni deux, il démonta, et laissant son cheval à un palefrenier, il fit quelques pas de course pour rejoindre la vue du petit groupe. En les suivant à distance raisonnable, il trouverait la salle sans embêter personne...

Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 28/10/2007

La mère Castelmaure arriva d'on ne savait où, comme à son habitude, et suivit le gamin, là, qui suivait la greluche et le mioche qui suivaient la gueuse vers ce qu'elle espérait être la Grande Salle - enfin, là où il ferait un peu chaud, ses rhumatismes en avaient bien besoin.
Oh, qu'il était mignon, de dos, le petit de Rekkared !

Oui, ceux qui l'ignoraient encore le savent désormais : ce n'est pas parce qu'on est vieille qu'on rechigne à de jolis spectacles.

Le jeune barahir était dans la place (oups scusez ^^) était donc arrivé en coche avec sa mére la Comtesse, était descendu en premier l'avait aidé a descendre, elle sa mére si couverte. La morsure du froid ne laissa pas insensible le garçon du fait de son elegant, mais froid habit. Sa mére semblait quant à elle s'en preservé le plus possible, quel etrange peur que celle du froid... Puis il l'a suivit lorsque elle suivit a son tour un valet qui les menaient à table, pensé suivi d'un gargouillement chez le jeune Malemort